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Posté par Pierre-François BERTRAND le 29 février 2008 dans Petites phrases dans ma tête | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
" Les Français découvrent, stupéfaits, que Notre Petit Nicolas n’a aucune aptitude pour gouverner. Mais reconnaissons que cela n’a jamais été son objectif : lui voulait juste être Président… "
P-F
Derrière cette boutade, se cache pourtant une réalité que tous les scénaristes et les spectateurs attentifs connaissent bien. Une fois que le héros a atteint son objectif (ou qu’il y renonce), le film est terminé. Seuls les mauvais auteurs tentent de poursuivre le scénario alors que l’intrigue est résolue ou abandonnée.
Personnellement, ce qui m’a frappé dans les images de Nico au Salon de l’Agriculture, ce n’est pas tant l’altercation avec le badaud à la peau sensible que ce qui s’est passé AVANT. Où l’on voit Notre Petit Nicolas, petit clown triste, qui serre des mains, hagard, perdu dans ses pensées, visiblement en train de se demander ce qu’il fait là. (Peut-être est-il juste en train d’imaginer Carla dans son adorable petit déshabillé opale prenant langoureusement son petit déjeuner, seule dans l’immense lit aux draps de soie…)
Tout le monde connaît désormais comment tout a commencé comme l’a raconté Catherine NAY dans le livre qu’elle lui a consacré : En 1982, Jacques ATTALI, alors conseiller du président MITTERRAND, reçoit un coup de fil d’un jeune avocat de 26 ans qui déclare haut et fort qu’il veut être Président de la République !
Le voilà, le souci…
Notre Petit Nicolas n’a donc pas dit qu’il voulait le bonheur de ses compatriotes, ni qu’il souhaitait éradiquer le chômage ou que chaque Français ait un logement décent, ni même qu'il rêvait de relancer la croissance en France : il a juste dit qu’il voulait être PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE.
Je ne sais plus qui a dit que la pire chose qui peut arriver à un homme, c’est d’atteindre son rêve : Et voilà pourquoi Notre Petit Nicolas est dans de beaux draps (avec Carla, heureusement.) !
A partir de là, la situation dramaturgique est claire : soit Nico se décide - sincèrement (un gros mot en politique) - à se déterminer un nouvel objectif, soit et bien nous allons assister à une longue et chaotique agonie.
Mais qu’il se rassure, quoi qu’il arrive, Notre Petit Nicolas aura marqué l’histoire de France et des présidents de la république, en étant un formidable… candidat !
Posté par Pierre-François BERTRAND le 28 février 2008 dans La femme de ménage sait où ça se range | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Qu’est-ce que ça veut dire, « être drôle » ?! Qui peut prétendre l’être en permanence ?! Y a-t-il une personne susceptible d’amuser la terre entière ?! Bien sûr que non…
Si vous cherchez bien, je parie que vous allez trouver même des personnes allergiques à Buster KEATON, Louis DE FUNÈS, Woody ALLEN, Gad ELMALEH… ou même à CAUET ! (Quoique pour ce dernier exemple, je pense que nous sommes beaucoup plus d’un…)
Je vous raconte ça parce qu’il m’ait arrivé une mésaventure dont je me serais bien passé :
Il y a quelques mois, je croise par hasard une vieille connaissance que je n’ai pas vu depuis longtemps.
Nous discutons et cet individu s’engage à me présenter un duo de comiques très en vue, pour lequel j’envisage d’écrire un long-métrage ou un concept de série. On se quitte et mon cerveau de scénariste fourmille à l’idée d’oeuvrer pour ces deux excellents comédiens.
Quelques semaines plus tard, la date du rendez-vous approchant, je reviens vers mon contact et ce dernier m’avertit par mail que mon blog lui paraît tellement consternant qu’il renonce à me présenter à ses deux amis ! (Pour être tout à fait honnête, il n’a pas utilisé le mot « consternant » mais c’est pourtant bien ce qui ressortait de son mail assassin : le mérite de la franchise, vous me direz !)
Bref, quelle baffe ! Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas pris un immeuble sur la tronche et celui-là, je peux vous assurer que je ne l’ai pas vu venir ! Déprime, stress, peur du lendemain, envie de tout balancer, pulsion de perforer toutes les dents de cet idiot à l’aide d’une perceuse, haine pour mes parents de m’avoir raté à ce point-là, arrêter ce maudit blog, gagner ma vie en jouant au Loto Foot, m’asseoir devant TF1 avec 100 kilos de Chamallows et attendre la mort, prendre ma carte à l’UMP, partir au Bénin…
Et puis, une fois encore, avec sa phrase magique, TIM M'A SAUVÉ…
Je veux dire que sur ce blog, je suis juste moi : point barre ! Et même si ce que j’écris paraît à certains (ou à tout le monde !) inintéressant, nul, très con, pathétique, absolument crétin, pitoyable, à vomir, etc… Et bien… TANT PIS !!!
Car je ne peux pas faire pire, ni mieux !…
Ce coup de blues me rappelle une petite fable adorable mais surtout très instructive :
« Il était une fois une course de grenouilles.
L'objectif était d'arriver en haut d'une pyramide.Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir. La course commença.
En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l'on entendit furent de ce genre : "Inutile !!! Elles n'y arriveront jamais!"
Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager, sauf quelques unes qui continuent de grimper.
Et les gens continuaient : "... Vraiment pas la peine !!! Elles n'y arriveront jamais !..."
Et petit à petit, les grenouilles s'avouèrent vaincues les unes après les autres, sauf une qui continuait envers et contre tout …
A la fin, cette grenouille, seule et au prix d'un énorme effort, rejoignit la cime.
Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle avait fait.
L'une d'entre elles s'approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l'épreuve.
Et découvrit qu'elle...
...était sourde ! »
MORALITÉ :
N'écoutez donc pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d'être négatives car elles volent les meilleurs espoirs de votre coeur !
Rappelez-vous du pouvoir qu'ont les mots que vous entendez ou que vous lisez.
Et tâchez d’être TOUJOURS POSITIF !
> Ca, c’est pas toujours facile...
Tiens, je viens de terminer mon cinquième paquet de Chamallows : c'est pas si mal, "ATTENTION A LA MARCHE" !
Posté par Pierre-François BERTRAND le 27 février 2008 dans C'est ma vie, après tout ! | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
Chaque année ou presque, c’est la même chose : je suis content de les regarder et puis à la fin, je me dis que j’aurais dû plutôt zapper sur « Le plus Grand cabaret du monde » ! (Heu... j’exagère !!!)
Car les Césars, à priori, j’aime bien…
Déjà, à moins d’être un(e) irréductible misanthrope ou un(e) incurable aigri(e), voir des gens sincèrement bouleversés de bonheur, ne peut faire que du bien ! Ensuite, l’espace d’une soirée, je me dis que « c’est possible », que moi aussi un jour, je vais rencontrer « un producteur formidable », même que j’aurais une « équipe formidable » et qu’on va vivre ensemble une « aventure formidable » ! (Dans mon futur discours, j’envisage de remplacer le mot « formidable » par « extra » ou «sublimissime» : qu’en pensez-vous ?! Bon d’accord, on en reparle…)
Comme tout spectateur, je me plonge avec un certain plaisir dans cette succession de « micros intrigues » : une remise des prix répond en effet parfaitement aux lois de la dramaturgie classique, mais avec un rapport au temps complètement inversé ! Révisons très brièvement ces fameuses lois :
- Le premier acte, généralement assez bref, fait découvrir au spectateur le principal enjeu, la problématique, l’objectif du héros…
> Ici on découvrira donc les nommés, ce qui pose de façon très clair l’enjeu : il y a un César à gagner et 4 prétendants : qui donc va l’emporter ?
- Le deuxième acte, toujours assez long, voit le protagoniste se battre pour atteindre son objectif jusqu’à la résolution de l’intrigue.
> ici, le deuxième acte ne dure que quelques misérables secondes puisqu’il s’agira simplement de l’ouverture de l’enveloppe jusqu’au « climax », soit l’annonce du nom du gagnant !
- Enfin le troisième acte dans un scénario est souvent très court, voire inexistant, puisqu’il s’agit, une fois l’intrigue résolue, de constater les éventuelles conséquences de l’histoire sur les personnages principaux.
> Oui, mais aux Césars, c’est l’acte le plus long, car ce qui nous intéresse, nous téléspectateurs, c’est d’assister au torrent d’émotion qui ne va pas manquer de saisir le lauréat et nous nous délecterons de ses larmes, de son discours haché, de ses remerciements à la fois dérisoires et sincères…
Et cette impeccable construction dramaturgique va ainsi se renouveler tout au long de la soirée : c’est pourquoi, à priori, tout est donc rassemblé pour que soit offert au téléspectateur son pesant d’émotions.
D’ailleurs nous avons effectivement été émus par les larmes de Hafsia HERZI, meilleur espoir féminin, et de Marion COTILLARD. Nous avons également été touchés par l’énergie – certes attendue – de Roberto BENIGNI, par les discours toute en finesse de Laurent STOCKER (meilleur espoir masculin) et du réalisateur allemand francophile de « La Vie des autres », Florian HENCKEL VON DONNERSMARCK ; sans oublier la belle prestation de Jeanne MOREAU qui avec des mots simples, a su nous rappeler opportunément à quel point, le cinéma est un art merveilleux…
Oui mais en dehors de ces petits moments lumineux, la soirée a laissé transpirer un immense malaise… Et le naufrage fût tel que les raisons en sont multiples :
D’abord, il y eut beaucoup d’absents…
Lorsque que pour les Césars du meilleur acteur et de la meilleur actrice, on découvre, horrifiés, que la moitié des personnes nommés ne sont pas dans la salle et bien le téléspectateur, lui bien présent et qui a donc renoncé à écouter à la radio son « PSG - MONACO », ne peut que ressentir une légitime déception. Et le fait que ces acteurs(rices) soient en tournage est bien entendu une excuse totalement bidon : un plan de travail, ça s’aménage, il suffit de le demander gentiment au premier assistant... « Et pis c’est tout !»
La meilleure preuve est qu’aux Oscars, je peux vous assurer que les nommés sont bien présent, eux ! Et même si pour honorer ce rendez-vous capital, ils doivent traverser la vallée de la mort sur deux béquilles, sans chapeau de soleil, et avec leur meilleur ami obèse et grabataire sur le dos, et bien ils seront là !
Il y aussi les absents qui eux, ont une bonne excuse, c’est qu’ils sont morts… Alors bien sûr, ce n’est pas de la faute de l’organisation si la costumière primée pour « La Môme » , Marit ALLEN, est décédée, tout comme l’acteur principal de « La vie des autres », Ulrich MÜHE, mais disons que ça plombe un peu l’ambiance…
Il y aussi ceux dont le comportement nous insupporte, je veux parler de Julie DEPARDIEU, venue sur scène recevoir son prix avec sa copine Ludivine SAGNIER nommée dans la même catégorie pour le même film, et dont le fou rire inexpliqué nous a laissé de marbre. Et que dire de l’impudique hommage de DELON à Romy SCHNEIDER ?!
Mais tout ceci, ce sont les impondérables (et les joies !) du direct et on n'y peut rien !
En revanche, penchons -nous sur ce qui est maîtrisable, soient l’animation, la mise en scène de la soirée elle-même, et là, il y a beaucoup à dire …
Alors j’admets bien volontiers que la tâche est ardue. Déjà parce qu’il y a une double cible : faut-il écrire et mettre en scène la cérémonie pour les téléspectateurs ou pour ce public, si particulier, des « professionnels de la profession » ?! Oui mais au risque de me répéter, aux Oscars, ils y arrivent bien, eux, alors quoi ?!
Ce public de pros est certes le pire public qui soit. D’ailleurs Antoine de Caunes, que j’apprécie généralement beaucoup, a tenté un gag en faisant venir une caméra sur scène, sensée nous faire partager sa vision et ses angoisses d’animateur : le spectateur lambda n’a vu qu’une salle de théâtre pleine… Alors que pour avoir souvent assister à des projections privées, il est difficile d’expliquer l’incroyable malaise qu’on y ressent, tant l’atmosphère y est glaciale, traversée d’ondes négatives difficile à expliquer, sauf peut-être par cette anecdote célèbre d’un réalisateur de la SRF (Société des Réalisateurs de Films) qui expliquait la jalousie maladive de toute une profession par ces mots :
« Quand je me rends à une projection privée voir le film d’un confrère et que le film est nul, JE me fais ch... »
« Quand je me rends à une projection privée voir le film d’un confrère et que le film est bien, CA me fait ch... »
A mon sens, c’est justement parce que ce public est exigeant, voire malveillant, qu’on se doit d’y croire et de s’engager à fond, seule issue si l’on veut avoir une chance de gagner la partie !
Mais vendredi, j’ai franchement eu l’impression que les responsables de la soirée partaient battus d’avance.
Déjà, arrêtons de se cacher derrière les gags qui ne fonctionne pas : plusieurs fois Antoine de Caunes, faussement rigolard, nous a ainsi pris à témoin à propos d’une blague qui n’avait pas même provoqué un sourire dans l’assistance. Il faut peut-être faire preuve d’un peu de courage et reconnaître que si le public reste de marbre, c’est juste que le sketch n’est pas drôle…
- Par exemple, pour expliquer l’absence cette année de la maîtresse de cérémonie habituelle, Valérie LEMERCIER - un point de départ de sketch pas plus stupide qu’un autre – nous avons retrouvé la dite Valérie déguisée en Edith PIAF / Marion COTILLARD qui donc ne pouvait pas présenter les Césars car en partance pour Los Angeles puisque nommée aux Oscars ! Est-il possible de trouver une situation plus tirée par les cheveux ?! Franchement non…
- Un peu plus tard, le sémillant présentateur proposa un interlude : une armée d’hommes tenant chacun
un chien en laisse débarqua sur le plateau. Ce "gag" purement absurde, sans aucun rapport avec le thème de la soirée, a laissé le public et les téléspectateurs sans réaction ; heureusement que les chiens, eux, semblaient heureux de se dégourdir un peu les pattes !
- De même nous fûmes conviés par Antoine à voir - exceptionnellement - ce qui se passe dans les coulisses des Césars, du côté des lauréats. Là aussi, un bon thème, malheureusement mal exploité ! Nous découvrons en effet tout un groupe de personnes en train de faire la fête de façon désordonnée et délirante : bonne idée, mais pour que ce soit drôle, il aurait fallu mettre en lieu et place de l’armée de figurants, les DELON, DEPARDIEU, TAUTOU, DENEUVE, JAOUI, MARCEAU, BEART, CANET et consorts…
Autrement et bien c’est joué « petit bras » et donc ce n'est pas drôle !
Ajoutez à cela l’immense malaise que chacun a ressenti à la toute fin de la cérémonie, lorsque le réalisateur, sûrement lecteur de « Closer », s’attarde complaisamment sur la détresse physique d’un vieux géant du cinéma français qui a toutes les peines du monde à descendre les marches.
Le lendemain, on a appris que Luc BESSON ne viendrait plus jamais aux Césars, même si un de ses prochains films était en lice, estimant que c'est vraiment « petit bras » et que toutes ces congratulations sont sans intérêt.
Ben mon Lucio, force est de constater que tu as là parfaitement résumé le sentiment général à l’issue de cette pitoyable soirée :
Alors non pas Ave mais Adieu César !
Posté par Pierre-François BERTRAND le 26 février 2008 dans La femme de ménage sait où ça se range | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Posté par Pierre-François BERTRAND le 22 février 2008 dans Petites phrases dans ma tête | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Posté par Pierre-François BERTRAND le 18 février 2008 dans Petites phrases dans ma tête | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Posté par Pierre-François BERTRAND le 16 février 2008 dans La femme de ménage sait où ça se range | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Posté par Pierre-François BERTRAND le 15 février 2008 dans Petites phrases dans ma tête | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Cher Dieu,
Alors comme ça, tu as cru bon de rappeler auprès de toi Notre Henri SALVADOR…
Grave erreur, très grave erreur même : il me semble qu’à 90 ans et après le magnifique parcours qui est
le
sien, Henri méritait d’abord qu’on lui foute la paix ! Mais j’avais déjà remarqué que tu t’en prenais vraiment à n’importe qui, tout spécialement aux vieux d’ailleurs ! Mais bon, inutile que je te saoule car tu reviens rarement sur ta décision…
J’imagine qu’en ce morne mois de février, tu as du te taper - comme tout le monde - un petit coup de blues et tu t’es dit : « Tiens, ce serait cool de tailler une bavette avec l’ami Henri et de profiter de son merveilleux rire ! ». Okay, Man ! Je peux le comprendre… Mais as-tu pensé un instant à nous, misérables créatures terriennes ?!
Alors écoute, j’ai entendu parler d’un truc qui m’a donné une idée, alors s’il te plaît, prête moi une oreille attentive… (En même temps, est-ce que Dieu a vraiment des oreilles, c’est à dire, est-ce que parfois, à l’aide d’un coton-tige ou de l’ongle de son auriculaire, il triture à l’intérieur pour en extraire cette étrange matière dorée et collante ?!)
Donc je te disais, oui, ce truc dont on m’a parlé mais je pense que tu connais, ça s’appelle la « RÉINCARNATION » : en gros, le type s’en va mais un peu plus tard il revient, sous une autre forme, mais c’est quand même lui, tu me suis ?!
Alors voilà mon idée : tu prends un bon photocopieur (je sais qu’à la SACD, ils ont le « CANON IR 8070 » et ils en sont très contents, mais bon tu prendras celui que tu veux, du moment qu’il «performe») ; ensuite et bien tout simplement tu photocopies Henri SALVADOR (d’ailleurs, petit détail pratique, comme tu le sais, Henri a la peau noire et s’habille presque tout le temps d’un élégant costume blanc, donc trop cool, tu peux faire des photocopies en Noir et Blanc, ça te coûtera moins cher !). Et surtout, tu nous fais le MAXIMUM de photocopies, genre plusieurs millions, lâche toi : il n’y en AURA JAMAIS ASSEZ !
Enfin, dernière opération, et bien tu nous réincarnes tout ça ! Allez, roule ma poule !…
Normalement, si pour une fois tu m’écoutes et que tu fais ce que je te dis, le monde sera bientôt rempli de personnes drôles, tendres, gaies, avec une pêche d’enfer et qui surtout, surtout, ne se prennent pas au sérieux : tu imagines comme ici-bas, on va enfin pouvoir souffler ?!
Bises et embrasse bien fort de ma part Émilie et Robert.
P-F
P.S. : oui, petit détail technique : un ami bouddhiste m’a fait remarqué très justement que ce n’était pas en fait « Henri SALVADOR » qu’il fallait photocopier mais bien, son âme. Donc finalement, peut-être qu’en couleur, ce serait peut-être plus efficace : essaie les deux et vois !
Posté par Pierre-François BERTRAND le 14 février 2008 dans Une araignée au plafond | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)