De retour de vacances, je me dois de vous faire un aveu…
Bien sûr, je n’en suis pas fier mais en même temps, ne vous ai-je pas fait une promesse, rappelez-vous, c’était le
15 octobre 2007 : « Je m’engage donc à ce que ce blog soit avant tout un joyeux bazar, le meilleur du pire de ce qui se passe dans mon cerveau fébrile ! »
Et bien là, attachez vos ceintures, on est en plein dedans…
Car durant mes vacances en Bretagne, 2 phrases complètement stupides ont traversé mon cerveau malade : attention, je dis bien "traversé", c’est à dire qu’à ce moment-là, je ne cherchais rien de particulier et surtout pas être spirituel, c’était le vide sidéral dans ma tête et ces - malheureuses - phrases ont débarquée telles quelles :
- La première m’est venue alors que je sortais de mon bain : Au moment précis où j’enjambais la
baignoire et que les gouttes d’eau ruisselaient de mon corps d’Apollon ( !) et tombaient sur le tapis de bain*, je me suis dis : «
La Vénus de Milo a-t-elle besoin, elle aussi, de déodorant sous les bras ?! »
Consternant, je sais mais je vous avais prévenu…
- La deuxième, ni pire, ni meilleure : La veille du départ, j’étais sur une petite plage plutôt sauvage en compagnie de ma famille. Il y avait pas mal de vent et soudain, sans crier gare, je me suis dis :
«
Le vent, n’est-ce pas Dieu qui pète ?! »
En fait, je crois que j’avais tort : celle-ci est pire…
Voilà, c’est tout… Pardon.
P-F
* : En fait, je crois que comme d’habitude, j’ai dû oublier de mettre le tapis de bain devant la baignoire et j’ai donc largement inondé le sol, source (!) de fréquentes remises au point de la part de ma dulcinée. Comme celle-ci parcourt parfois ce blog, j’ai préféré édulcorer un peu la scène dite de « la baignoire »…