Je n’en pouvais plus de l’attendre mais enfin, ce soir ça y est, « Olivia est revenue ! ». Je parle de MON Olivia, bref Olivia Dunham, l’héroïne de FRINGE : Début de la saison 2 ce soir sur TF1 à 23h13. Ben oui, depuis la première minute du premier épisode de la saison 1, j’en suis fou amoureux ! J’ai d’ailleurs du mal à comprendre le pourquoi du comment de ce coup de foudre (apparemment réciproque !) mais c’est comme ça…
Olivia est pourtant blonde et je préfère les brunes. Elle n’est pas spécialement canon avec son trop grand menton ni même sophistiquée : elle n’a jamais le temps de passer chez le coiffeur, ainsi durant toute la durée de notre idylle, soit toute la saison 1, je ne lui ai connu que deux coiffures, et des plus sommaires : cheveux lâchés sur les épaules ou bien attachés par une queue de cheval, point barre ! Beaucoup plus grave, elle rigole peu, voire pas du tout. De toute façon, Olivia n’a jamais le temps de rien : ni de sortir, ni de voir des amis, encore moins de faire du shopping ou de traînasser par un après-midi pluvieux devant un vieux Derrick (pléonasme)… Car Olivia est sur la brèche 25 heures sur 24, voire plus, car tout un tas de phénomènes plus ou moins paranormaux ont le chic pour lui tomber dessus sans crier gare ! En revanche, ce qui est certain, et c’est là qu’on se complète bien, c’est que contrairement à moi, Olivia n’a peur de rien… Elle fonce sans trop réfléchir avec un mépris du danger qui me sidère, et parfois, je le reconnais m’exaspère ! Car, pendant ce temps-là, qui c’est qui, à la maison, tremble pour elle et se fait un sang d’encre ?! C’est Bibi… Mais que voulez-vous, j’aime son énergie, j’aime sa détermination sans faille, j’aime quand elle tient tête à Phillip Broyles, son responsable hiérarchique, un grand black sévère aux yeux de loup et qui, mine de rien, aimerait bien être à ma place… Le seul truc qui m’embête un peu, c’est que durant cette saison 1, j’ai bien senti que mon Olivia semblait se rapprocher un peu de Peter Bishop, jeune homme certes intelligent comme 3 Einstein réunis mais quand même pas mal perturbé aussi…
Bref, j’espère que nous continuerons avec Olivia à filer le parfait amour. Oui car l’année dernière, chaque soir après son épisode, Olivia finissait toujours par me rejoindre dans ma couche… Comment ça, un rêve ?! N’importe quoi !!! La preuve, au matin, vous pouviez être sûr que mon Olivia n’était jamais dans notre lit à mon réveil, tout simplement parce qu’au FBI, on commence vachement tôt…