Concernant mes passionnants (et hautement scientifiques !) travaux de recherche menés ICI et LÀ depuis
18 mois sur la corrélation plus que certaine entre le titre et le succès d’un film, est sorti le 3 décembre dernier un exemple fort intéressant, je veux parler de l’excellent (titre) : « JE VEUX VOIR ». Avouez que c’est parfait, çà : « JE VEUX VOIR » ! C’est extraordinairement simple et positif ! Non, les enfants, là je vous dis bravo !
Mais alors pourquoi ?! Pourquoi, d’après les premiers chiffres en ma possession, le succès – assuré – ne semble néanmoins pas au rendez-vous ?! Alors les mauvaise langues diront qu’un film dont le seul argument est la promenade de la comédienne Catherine DENEUVE au Liban, pays en guerre, a de facto un public restreint. D’autres remarqueront qu’un film qui permet aux Cahiers du Cinéma d’écrire, je le cite : « Le film aura rendu perceptibles la véritable singularité et la véritable puissance du "voir" cinématographique… » n’a finalement que ce qu’il mérite ! Certes…
Mais le souci, à mon sens, n’est pas là… Le problème, c’est bien sûr L’A-FFICHE ! Ben oui, on imagine que Catherine veut voir et sur l’affiche que fait-elle ? Elle voit… Et quelle tête fait-elle ?! Est-ce qu’elle est subjuguée, ravie, enthousiaste comme quand on voit « LA LIGNE ROUGE », un film de Jacques TATI, de WOODY ou lorsqu’on lit un scénario de Pierre-François BERTRAND (!) ?! Absolument pas ! Bien au contraire, elle semble au mieux circonspecte, voire franchement déçue… Donc le message est clair : Si vous voulez voir, ben vous allez fichtrement être déçue ! Et voilà comment on passe à côté d’un triomphe planétaire !... Sans cette « erreur », nul doute que Dany lui-même aurait tremblé : C’est-y ballot !
Mais alors pourquoi ?! Pourquoi, d’après les premiers chiffres en ma possession, le succès – assuré – ne semble néanmoins pas au rendez-vous ?! Alors les mauvaise langues diront qu’un film dont le seul argument est la promenade de la comédienne Catherine DENEUVE au Liban, pays en guerre, a de facto un public restreint. D’autres remarqueront qu’un film qui permet aux Cahiers du Cinéma d’écrire, je le cite : « Le film aura rendu perceptibles la véritable singularité et la véritable puissance du "voir" cinématographique… » n’a finalement que ce qu’il mérite ! Certes…
Mais le souci, à mon sens, n’est pas là… Le problème, c’est bien sûr L’A-FFICHE ! Ben oui, on imagine que Catherine veut voir et sur l’affiche que fait-elle ? Elle voit… Et quelle tête fait-elle ?! Est-ce qu’elle est subjuguée, ravie, enthousiaste comme quand on voit « LA LIGNE ROUGE », un film de Jacques TATI, de WOODY ou lorsqu’on lit un scénario de Pierre-François BERTRAND (!) ?! Absolument pas ! Bien au contraire, elle semble au mieux circonspecte, voire franchement déçue… Donc le message est clair : Si vous voulez voir, ben vous allez fichtrement être déçue ! Et voilà comment on passe à côté d’un triomphe planétaire !... Sans cette « erreur », nul doute que Dany lui-même aurait tremblé : C’est-y ballot !
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