Et ce dialogue, à voir et à revoir, est, en ce sens, un modèle du genre, une leçon d’écriture pour tous les scénaristes : D’abord Jacques et son air perpétuellement benêt, celui par qui tout arrive, qui voit là l’occasion d’en placer une et qui y va "franco". Puis Alain lui répondant, et qui en rajoute une couche, mi-gêné, mi-amusé, on ne sait trop... (Il faudra d’ailleurs m’expliquer qu’est-ce qui pourrait bien empêcher ce jeune homme d’être né en Corrèze !)
Messieurs, du grand art ! Bravo pour ce numéro de duettistes : Poiret et Serrault, de là où ils sont, voient enfin leur digne succession soudain éclore…
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.